Sale temps pour les start-up
Les start-up
n'ont plus la cote auprès des investisseurs. La Bourse
resserre ses cordons. Plus d'une dizaine de sites ont
déclaré forfait en l'espace de deux mois. Quand les sites
ne ferment pas, ils licencient à tour de bras. Tour d'horizon
des malheurs et déboires startupiens. Lire
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Vie et naufrage d'une start-up
La croisière
ne s'amuse plus. A vos
dés.
Le Web fête son entrée dans l'âge de raison
Internet
est entré dans l'âge adulte. Il a définitivement perdu
son principal attrait : la nouveauté. Le Web s'est
banalisé en devenant un circuit de distribution comme
un autre. En tant que tel, il obéit aux mêmes lois marketing
et commerciales, ce que nombre de sites marchands sont
en train d'apprendre à leurs dépens. Lire
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A toute chose malheur est bon
Flairant
à l'avance le désastre ou prenant le train en marche,
plusieurs sites traitent avec plus ou moins de férocité
des faillites et difficultés "startupiennes"
et illustrent à merveille la fameuse propension des Américains
à rebondir dans l'échec. Florilège.
Et maintenant ?
Et maitenant
que va-t-il se passer ? Les start-up qui n'auront
pas fait faillite risquent de se faire racheter. Le mouvement
de concentration du secteur va encore s'accélérer, de
plus en plus de sociétés en difficulté recherchant un
repreneur. Lire
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